Dans le cadre de la lutte contre les différents trafics, le droit français autorise la saisie des biens et avoirs. Ils peuvent ensuite être mis à disposition de l’état une fois un verdict rendu. C’est la loi sur la « non justification de ressources« . Cette loi pourrait aller encore plus loin.
A partir du moment où un trafic est en place, de l’argent circule. Partant de ce constat, chaque trafiquant individuel devrait être considéré comme une « entreprise de vente de détail » ou une « entreprise de service à la personne », avec les impôts et taxes qui accompagnent ce statut
Vous trouvez cette idée tordue. Pourtant c’est une disposition européenne d’intégrer les trafics dans le PIB. Le Royaume-Uni et l’Espagne appliquent cette loi. Autant ne pas être hypocrite.